Lundi 27 juin 2011, vers 14h30-15h, j'ai senti venir une migraine carabinée. Étant sujet aux migraines de façon chronique, j'ai développé cette "capacité" à les sentir venir. C'est donc résolu à passer une soirée de m*rde que je rentre chez moi très tôt, sachant que cette fichue migraine m’empêcherai de toute façon de mener à bien mon travail. Arrivé chez moi, je prends mes médicaments habituels et vaque à mes occupations en espérant que cette migraine ne sera pas trop forte. Je suis d'ordinaire sujet a des migraines qui durent entre 12 et 16h avec une forte sensibilité visuelle et auditive, classées en migraines de type II.
Là, je sens tout de suite que c'est différent. Aux habituelles hyper-sensibilités visuelles et auditives vient s'ajouter une hyper sensibilité olfactive, les odeurs renforçant mon mal de crâne de façon intense. Puis viennent les nausées, vertiges, vomissements, perte d’appétit, perte de sensibilité dans la jambe droite et sensation d'enfoncement d'aiguille dans le bras gauche. À ces nouveaux symptômes, je me dis que c'est n'est pas une migraine "ordinaire" pour moi et je commence à lire des publications sur les migraines et j'apprends que ça ressemble fortement à une migraine de type IV ou V. Ce qui signifie aussi une intensification progressive des sensations douloureuses et un allongement très significatif de la durée de la crise migraineuse. J'ai donc passé une nuit du lundi au mardi très mauvaise, parvenant difficilement à dormir par période de 20-30 minutes de-ci de-là. Sachant que le seul remède est d'attendre que les triptans agissent, je me résigne et prévient mon boss que je ne viendrai pas au bureau. Les symptômes vont et viennent avec plus ou moins d’intensité à chaque fois, mais le mal de crane pulsatile est, lui, bien présent en permanence.
Vers 11h du matin, n'y tenant plus, j'appelle mon médecin traitant qui m'oriente vers un neurologue qui accepte de me prendre en urgence dans l'après-midi. Le rendez-vous confirme ce que je pensais : mes migraines ont changées de configuration et se sont renforcées, passant à un type V (sur 6 possibles). Il change mon médicament et je ressens tout de suite une amélioration (sans pour autant une accalmie totale) et me donne rendez-vous le lendemain pour un électro-encéphalogramme pour s'assurer que ce n'est qu'une migraine et pas quelque chose de plus grave.
Revenu du rdv neuro, je reçois un SMS m'invitant à un film le soir. Les symptômes s'étant quasiment dissipés grâce au médoc, j'accepte et j'ai donc vu le film "Bad Teacher" avec Cameron Diaz et Justin Timberlake (très drôle !). Mais à peine revenu, les symptômes reprennent de plus belle et je passe une nuit similaire à la précédente.
Le lendemain matin (le mercredi 29 juin donc), l'EEG ne permet pas de savoir grand chose aussi mon neuro me demande d'arrêter le traitement de revenir l'après-midi pour un nouvel EEG... La bonne blague ! C'est donc avec une migraine carabinée que je passe l'EEG l'après-midi. Cet EEG a permis de s'assurer que cette migraine n'est pas due à une tumeur ou un problème d'artère basilaire, c'est déjà ça de pris !
La migraine s'est arrêtée d'elle même aux alentours de 16h (soit 48h de migraine) et je suis donc de retour au travail des le jeudi. Le neurologue a néanmoins programmé deux IRMs pour demain matin (vendredi 1er juillet), l'un avec agent de contraste, l'autre sans, afin de s'assurer que d'éventuelles autres maladies ne sont pas cause des ces symptômes.
Là, je sens tout de suite que c'est différent. Aux habituelles hyper-sensibilités visuelles et auditives vient s'ajouter une hyper sensibilité olfactive, les odeurs renforçant mon mal de crâne de façon intense. Puis viennent les nausées, vertiges, vomissements, perte d’appétit, perte de sensibilité dans la jambe droite et sensation d'enfoncement d'aiguille dans le bras gauche. À ces nouveaux symptômes, je me dis que c'est n'est pas une migraine "ordinaire" pour moi et je commence à lire des publications sur les migraines et j'apprends que ça ressemble fortement à une migraine de type IV ou V. Ce qui signifie aussi une intensification progressive des sensations douloureuses et un allongement très significatif de la durée de la crise migraineuse. J'ai donc passé une nuit du lundi au mardi très mauvaise, parvenant difficilement à dormir par période de 20-30 minutes de-ci de-là. Sachant que le seul remède est d'attendre que les triptans agissent, je me résigne et prévient mon boss que je ne viendrai pas au bureau. Les symptômes vont et viennent avec plus ou moins d’intensité à chaque fois, mais le mal de crane pulsatile est, lui, bien présent en permanence.
Vers 11h du matin, n'y tenant plus, j'appelle mon médecin traitant qui m'oriente vers un neurologue qui accepte de me prendre en urgence dans l'après-midi. Le rendez-vous confirme ce que je pensais : mes migraines ont changées de configuration et se sont renforcées, passant à un type V (sur 6 possibles). Il change mon médicament et je ressens tout de suite une amélioration (sans pour autant une accalmie totale) et me donne rendez-vous le lendemain pour un électro-encéphalogramme pour s'assurer que ce n'est qu'une migraine et pas quelque chose de plus grave.
Revenu du rdv neuro, je reçois un SMS m'invitant à un film le soir. Les symptômes s'étant quasiment dissipés grâce au médoc, j'accepte et j'ai donc vu le film "Bad Teacher" avec Cameron Diaz et Justin Timberlake (très drôle !). Mais à peine revenu, les symptômes reprennent de plus belle et je passe une nuit similaire à la précédente.
Le lendemain matin (le mercredi 29 juin donc), l'EEG ne permet pas de savoir grand chose aussi mon neuro me demande d'arrêter le traitement de revenir l'après-midi pour un nouvel EEG... La bonne blague ! C'est donc avec une migraine carabinée que je passe l'EEG l'après-midi. Cet EEG a permis de s'assurer que cette migraine n'est pas due à une tumeur ou un problème d'artère basilaire, c'est déjà ça de pris !
La migraine s'est arrêtée d'elle même aux alentours de 16h (soit 48h de migraine) et je suis donc de retour au travail des le jeudi. Le neurologue a néanmoins programmé deux IRMs pour demain matin (vendredi 1er juillet), l'un avec agent de contraste, l'autre sans, afin de s'assurer que d'éventuelles autres maladies ne sont pas cause des ces symptômes.
Affaire à suivre ! ! !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire